Quiconque a regardé le dessin animé ou accompagné le manga Yu-Gi-Oh depuis le départ connaît les dieux égyptiens. Ces cartes mythiques et ancestrales sont les plus puissantes du jeu de duel de monstres. Slifer le Dragon du Ciel, Obelisk le Tourmenteur, Le Dragon Ailé de Râ : des titans aux talents de destruction spectaculaires, et presque invincibles. Et c’est leur fusion, Horakhty la Divinité Créée par la Lumière, qui arrive à renvoyer Zorc, le démon du mal. Pour pouvoir supporter leur pouvoir, il faut être héritier d’un objet légendaire du Millenium ou descendre des prêtres égyptiens.
Le premier arc fini, d’autres copies des dieux égyptiens sont sorties : les bêtes sacrées, les démons de l’enfer… sans parvenir à égaler la force des vraies divinités.
Dans le jeu de cartes, elles ont d’abord été imprimées dans des versions promotionnelles (par exemple dans la série « Collection Légendaire ») : elles n’avaient pas d’effet et ne pouvaient pas être jouées en tournoi.
Les versions légales ont gagné dernièrement nos tables de duel : Slifer est le dernier en date à avoir été édité, paru au Japon le 17 décembre, accompagné de Horakhty en distribution limitée.
Maintenant qu’on peut les jouer, ces cartes chargées d’histoire ont perdu une partie de leurs effets.